La richesse muséale de Dresde (Dresde, la Florence du Nord) est à peine croyable. Commençons notre tour par l’Albertinum.

(Johann-Christian Dahl, Vue de Dresde au clair de lune, 1839)
Toute une salle consacrée à Caspar David Friedrich, né à Greisfeld en 1774, mort à Dresde en 1840
(La grande réserve, près de Dresde, 1832)
(Étude pour La grande réserve, 1830)
(Deux hommes contemplant la lune, 1819/20)
(La croix dans la montagne, 1807 plus connu comme Le Rétable de Tetschen
(Dolmen dans la neige, 1807)
(Vue sur la vallée de l’Elbe, 1807)
(Buisson dans la neige, 1827)
(Paysage de Bohême, 1808)
L’une des versions de la célèbre Petite danseuse de Degas
(Degas, Deux danseuses, 1898)
(Van Gogh, Nature morte aux coings, 1888)
(Gauguin, Parau Api, 1892)
(Böcklin, Jour d’été, 1888)

(L’un des bustes de Mahler dus à Rodin, 1900)
(Klimt, Forêt de hêtres, 1902)
(James Ensor, Nature morte au chou rouge, 1890)
(Max Liebermann, Le champ aux choux, 1912)
(Max Slevogt, Portrait de la danseuse Anna Pavlova, 1909)

Deux toiles étonnantes du Dresdois Robert Sterl (1887-1932) qui réalise, en 1910, en Russie, ces toiles de 1910 comme « prises sur le vif », ci-dessus du violoniste Alexandre Mogilevski, ci-dessous du pianiste et compositeur Alexandre Scriabine, et sur les deux, le même chef d’orchestre, le jeune Serge Koussevitzky (à qui on consacrera tout un billet).

(Emil Nolde, Régate en mer jaune, 1914)
(Emil Nolde, Delphiniums, 1926)
(Picasso, Coupe de fruits, mandoline, bouteille, 1924)
(Kirchner, Pont de chemin de fer sur la Lobtauerstrasse à Dresde, 1910/26)
Une exposition temporaire de l’un des maîtres de l’expressionnisme allemand, Carl Lohse 1895-1865)


Un grand ensemble de toiles de grand format du peintre dresdois Gerhard Richter (1932-).



Et dans les vastes salles du rez-de-chaussée, centenaire oblige, un bel alignement de scultptures de Rodin (1840-1917).




Pour visiter les trois musées d’Etat de Dresde, on conseille le billet journalier.
Dresde/Dresden (Germany) – Décembre/December 2017
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