Dresde, splendeurs baroques, ville martyre en 1945, célébrée notamment par Bernardo Bellotto (qui se faisait appeler Canaletto comme son oncle Giovanni Antonio Canal).
Pour remettre le visiteur en situation, on a pisté le parcours du peintre sur les rives de l’Elbe – ces toiles sont visibles dans le palais Zwinger, très précisément à la Gemäldegalerie Alte Meister.
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(Vue sur le château de la Résidence et la cathédrale de la Sainte-Trinité)
(Le pont – qui n’est pas des soupirs – reliant le château à la cathédrale)
(Vue sur les terrasses de l’Elbe, et le dôme de la Frauenkirche, dont la reconstruction fut achevée en 2005)
Jouxtant le château, une longue fresque datant de la fin du XIXème siècle, met en scène tous les souverains de Dresde depuis le Moyen-Age)
(La nef de la Frauenkirche)
(Un ancien palais reconstruit – comme tout le centre historique de Dresde – transformé en hôtel)
(Le palais de Courlande-)
(L’opéra, Semperoper)
(Le palais Zwinger, en restauration)
(Un survivant de l’architecture communiste, la Philharmonie de Dresde)
…et la seule Trabant qu’on a vu circuler !
Dresde (Allemagne) – Décembre/Décembre 2017