On n’avait pas prévu de pousser jusqu’à Giverny en ce dimanche venteux d’automne, mais les foules de touristes n’étaient pas aussi nombreuses qu’on l’imaginait, et la visite de la maison et des jardins de Claude Monet s’est avérée beaucoup plus tranquille que prévu.
Pas de nymphéas à cette saison, mais l’étang est aux couleurs flamboyantes de l’automne.
Maison de Claude Monet, Giverny (France) / October-Octobre 2017
Recommandé : le très sympathique restaurant de l’ancien Hôtel Baudy.
Le Musée national d’art de Roumanie à Bucarest ne saurait rivaliser avec les grands musées de Paris, Londres, Madrid ou Saint-Pétersbourg, mais il vaut largement la visite, surtout lorsque la canicule étouffe la capitale roumaine. Le roi Carol Ier avait du goût…
(Brueghel l’Ancien, Bouquet de fleurs)
(Pieter Brueghel le Jeune, Les Quatre saisons)
(Ecole hollandaise XVIIème s. Nature morte aux biscuits)
Quelques peintres français, mais surtout des Roumains, au XIXème et au début du XXème siècle ont vécu, travaillé dans le sillage des maîtres de Barbizon, Paris ou Giverny
(Vlaminck, Paysage avec meules de foin)
(Monet, Barques à Honfleur)
(Renoir, Paysage avec maison)
(Forain, Danseuses au repos)
Celui qu’on décrit comme le plus grand peintre roumain (!), Nicolae Grigorescu – ci-dessus Jeune vigneronne française – vit et travaille à Paris ou en Bretagne de 1879 à 1890.
(Samuel Mützner, Soir à Giverny)
(Lucian Grigorescu, Notre Dame de Paris)
(Paul Miracovici, Pont sur la Seine)
(Gheorghe Ionescu Sin (1896-1986), Barques à Villefranche)
(Gheorghe Vanatoru (1908-1983), Nature morte au violon)
(Henri Catargi, Paysage)
(Viorel Huși, Auberge en Normandie)
Plus d’informations sur http://www.mnar.arts.ro/en/
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